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| +++ Journal des sports - Turquie +++ | |
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Tout avait mal commencé. Aygün Ak (35e) puis Tunca Aydemir (52e) avaient punis une défense turque trop laxiste, mettant le Bisektas dos au mur. "On jouait comme des amateurs, ou comme moi après trois verres de vodka", aurait hurlé Nina Hoslanir dans les vestiaires à la mi-temps, selon une source proche de l’équipe. Mais l’équipe a réussi à sauver les meubles et revenir au score par deux fois. En conférence de presse, Nina n’a pas mâché ses mots : "On a joué comme des dieux pendant 30 minutes, et comme des merdes pendant 60. Mais bon, au moins, on a sauvé le match. Et moi, j’ai mieux à faire que de parler foot toute la soirée..." - sous-entendu très clair pour ceux qui connaissent ses soirées légendaires. Quelques heures après le match, une photo volée a fuité sur les réseaux sociaux : on y voit Nina Hoslanir, short moulant déchiré aux cuisses, haut ouvert laissant entrevoir un soutien-gorge noir, un verre de champagne à la main, entourée de deux strip-teaseurs torse nu. La princesse Jasmine, compagne officielle de Nina, était absente du match - officiellement pour des "obligations royales", mais les rumeurs disent qu’elle aurait organisé une surprise pour sa bien-aimée. "Nina est insatiable, sur le terrain comme ailleurs. Et c’est pour ça qu’on l’aime", a-t-elle déclaré à Hürriyet, avec un sourire mystérieux. Avec ce match nul, le Bisektas reste en tête du championnat, mais la pression monte. "Soit on se reprend, soit on continue à s’amuser... mais dans les deux cas, on va gagner", a prévenu Nina. Et pour ceux qui doutent encore de sa méthode, elle a ajouté, avec un clin d’½il : "Le foot, c’est comme le sexe : parfois, c’est chaotique, parfois c’est parfait… mais tant que tout le monde prend son pied, c’est bon." Sur le papier, l’écart est abyssal. L’AC Metz, habitué aux phases de groupes de la Ligue des Champions, aligne des joueurs de classe mondiale : un gardien impérial, une attaque redoutable, et une défense expérimentée. Le Bisektas, lui, découvre la compétition... mais dispose d’un atout majeur : Nina Hoslanir. "Ils ont l’expérience, nous avons la folie. Ils ont la technique, nous avons la rage. Et surtout, ils n’ont pas une milliardaire prête à tout pour gagner", a-t-elle déclaré, un verre de whisky à la main, devant une assemblée de journalistes médusés. Depuis une semaine, le Bisektas s’entraîne à huis clos, avec des séances intensives et des exercices tactiques pointus. "On va les surprendre. Ils s’attendent à un club turc classique... ils vont avoir une équipe qui joue comme des démons", confie un joueur sous anonymat. Mais Nina Hoslanir ne se contente pas de préparer son équipe sur le terrain. Elle joue aussi avec les nerfs de l’adversaire : Une vidéo postée sur TikTok où elle détruit un maillot de l’AC Metz au lance-flammes. Des déclarations incendiaires : "Leur entraîneur a l’air d’un comptable. Moi, j’ai l’air d’une gagnante." Une rumeur persistante : elle aurait promis une prime de 1 million d’euros par but marqué à ses joueurs. "Elle veut les déstabiliser avant même le coup d’envoi. Et ça marche", analyse un expert de beIN Sports. La princesse Jasmine, héritière du trône turc et compagne de Nina, sera bien présente au match. "Elle va leur montrer qui commande, sur le terrain et ailleurs", a-t-elle glissé à Hurriyet, avec un sourire enjôleur. Les tabloïds turcs spéculent déjà sur une soirée post-match légendaire, avec champagne, célébrités et peut-être même une apparition surprise d’une star internationale dans les loges VIP. Malgré l’écart de niveau, le Bisektas a des arguments : Une défense solide (seulement 4 buts encaissés en 6 matchs de championnat). Une attaque en feu (15 buts marqués, meilleure attaque du championnat). L’effet Nina : une motivation à toute épreuve, et une envie de prouver au monde entier qu’ils méritent leur place. "On va les étouffer. Physiquement, mentalement, tactiquement. Ils ne savent pas à quoi s’attendre", promet Yaman Karaer, buteur en forme. Les bookmakers donnent l’AC Metz favori, avec une cote de 1.45 contre 6.50 pour le Bisektas. Pourtant, personne ne doute qu’avec Nina Hoslanir, tout est possible. "Soit on va se prendre une leçon, soit on va créer l’exploit du siècle. Mais une chose est sûre : ce ne sera pas ennuyeux", résume un supporter du Bisektas. L officialisation de leur relation homosexuelle, il y a six mois, avait déjà fait la une de tous les médias. Nina Hoslanir et la princesse Jasmine (toutes deux classées parmi les 10 femmes les plus sexy de la planète et les 50 personnalités les plus riches du monde) avaient brisé les tabous en affichant publiquement leur amour. Mais cette fois, c est le monde du sport qui tremble. "C est un coup de poker, un mélange de romantisme et de provocation", confie un journaliste sportif turc sous couvert d anonymat. "Personne ne sait si c est une blague, une stratégie marketing, ou une vraie volonté de révolutionner le football turc." Lors de sa première conférence de presse, Nina Hoslanir n a pas manqué de surprendre. Vêtue d un tailleur sur mesure et d une paire de baskets dorées, elle a lâché, sous les flashs des photographes et les rires nerveux des journalistes : "Avec ma nouvelle équipe, je vais enculer tous les clubs de Turquie !" Une déclaration qui a immédiatement fait le tour des réseaux sociaux, entre admirateurs et détracteurs. "C est du jamais vu. Une femme de 25 ans, sans expérience, qui parle comme ça... Mais c est aussi ça, le football : du spectacle, de la passion, et parfois, de la folie", commente un consultant de beIN Sports. Les supporters du Bisektas sont divisés. Certains y voient une opportunité médiatique sans précédent, d autres une insulte au football. "On a des légendes qui ont tout donné pour ce club, et on nous envoie une milliardaire qui joue à la poupée ?", s indigne un ultra du groupe Carsi. Pourtant, les ambitions de Nina Hoslanir sont claires : "Je veux gagner. Pas dans cinq ans, pas dans trois ans. Maintenant." Elle aurait déjà recruté une équipe de conseillers, dont d anciens joueurs de Premier League et de Liga, pour l épauler. "Elle paie les meilleurs, elle veut les meilleurs résultats", confie une source proche du club. Au-delà des frontières turques, la nomination de Nina Hoslanir fait débat. "Est-ce que l argent et le pouvoir peuvent tout acheter, même la crédibilité sportive ?", interroge The Guardian. En Turquie, où le football est une religion, certains y voient une manipulation politique, d autres une révolution culturelle. La princesse Jasmine, elle, soutient sans réserve sa compagne : "Nina a toujours été une gagnante. Elle ne connaît pas le football ? Elle va l apprendre. Et elle va le dominer." Nina Hoslanir sera-t-elle la pire erreur de l histoire du Bisektas, ou la surprise qui va électriser le championnat turc ? Une chose est sûre : avec elle, le football ne sera plus jamais ennuyeux. L EFFECTIF DEVRAIT CHANGER AVEC DES NOUVELLES RECRUE ET RAJEUNIRE L EQUIPE |
Résultat ? Un exploit historique, une Nina Hoslanir plus provocante que jamais, et un message clair envoyé à l’Europe : le Bisektas n’est pas un faire-valoir. Dès le début du match, l’AC Metz a montré ses ambitions avec une frappe de Gianluca Copi, repoussée par le gardien turc. Puis, à la 52e minute, Hugo Perez a enfin ouvert le score après une erreur défensive du Bisektas. 1-0 pour Metz, et tout le monde s’attendait à un festival offensif des Français. Mais c’était sans compter sur Nina Hoslanir. "Ils ont cru que c’était fini ? Ils ne me connaissent pas", a-t-elle lancé, debout sur le banc, les poings serrés. À la 61e minute, après une faute claire dans la surface, l’arbitre a sifflé penalty pour le Bisektas. Deniz Avci, sang-froid à toute épreuve, a trompé le gardien et égalisé : 1-1 ! Le Bisektas a frôlé l’exploit absolu à la 94e minute, quand Deniz Avci a frappé le poteau après une contre-attaque fulgurante. "On aurait dû plus les dominer", a regretté Nina Hoslanir, visiblement frustrée malgré le résultat. "Mais bon, 1-1 contre une équipe comme Metz, c’est déjà une victoire. Et une victoire, ça se fête." En conférence de presse, Nina Hoslanir a encore frappé fort : "Ils ont eu peur de moi. Peur de mon équipe, peur de mon style, peur de ma détermination. Et ils ont bien raison. Parce que la prochaine fois, on ne fera pas match nul. On gagnera." La princesse Jasmine, présente en tribune, n’a pas caché sa fierté : "Nina est née pour ça. Pour défier les géants, pour surprendre le monde, pour gagner. Et ce soir, elle l’a prouvé." Le Bisektas doit maintenant se concentrer sur le championnat, où il est toujours leader. Mais une chose est sûre : l’Europe a découvert Nina Hoslanir, et elle n’a pas fini de faire parler d’elle. "Ce n’est que le début. La prochaine fois, on ne fera pas match nul. On gagnera. Et après, on fera la fête... comme d’habitude." Résultat ? Un festival offensif, trois buts en première mi-temps, et une déclaration de guerre au reste du championnat. Dès la 17e minute, Yaman Karaer a ouvert le score d’une frappe croisée imparable, après une percée fulgurante sur l’aile droite. Six minutes plus tard (23e), Age Kaurin a doublé la mise d’un plat du pied précis, servi par une ouverture géniale de Gokhan Mandirali. Et pour enfoncer le clou, Kaurin a de nouveau frappé (38e), profitant d’une erreur défensive grossière du Belediyespor. "On les a violés tactiquement. Ils n’ont même pas eu le temps de pleurer", a déclaré Nina Hoslanir en conférence de presse, un sourire en coin et un décolleté plongeant qui a distrait plus d’un journaliste. "C’est ça, le football moderne : rapide, impitoyable, et avec du style." Les images de l’entraîneuse exultant sur le banc, puis lançant un baiser à la princesse Jasmine (présente en tribune VIP, robe moulante et regard de braise), ont immédiatement inondé les réseaux sociaux. "Elle a transformé le Bisektas en une machine de guerre... et en un spectacle permanent", commente un analyste de TRT Spor. "Elle joue avec les médias comme elle joue avec ses adversaires : sans pitié", note un journaliste de Sozcu. D’ailleurs, la jeune entraîneuse n’a pas manqué de taquiner la presse après le match : "Vous pensiez que j’étais juste une riche héritière qui s’amusait ? Désolée de vous décevoir... ou pas." La princesse Jasmine, héritière du trône turc et compagne officielle de Nina, était une nouvelle fois présente pour assister à la démonstration. Filmée applaudissant debout, puis échangeant des regards complices avec son entraîneuse, elle a alimenté les rumeurs sur leur vie privée. "Nina est née pour gagner. Au foot, dans les affaires... et dans les draps", a-t-elle glissé à un journaliste de Hurriyet, sous-entendus à l’appui. Les tabloids turcs spéculent déjà sur une soirée de célébration privée dans leur palais d’Istanbul, avec joueurs, mannequins et champagne à flots. Face à une équipe de quatrième division, le Bisektas n’a fait qu une bouchée de son adversaire. Triplé de l’attaquant Deniz Avci, but de Diego Roy et clôture du score par Gökhan Mandirali : les joueurs semblent galvanisés par l énergie de leur entraîneuse. "On a joué comme des dieux... ou comme moi au lit", a lancé Nina Hoslanir en conférence de presse, déclenchant rires et regards choqués. Les images de la jeune milliardaire sautant de joie sur le banc, mini-short moulant et débardeur laissant entrevoir un soutien-gorge rouge, ont immédiatement fait le tour des réseaux. "Elle a plus de charisme en 5 minutes que la plupart des entraîneurs en 5 ans", commente un journaliste de Hurriyet. Avec cette première victoire sous l’ère Hoslanir, le Bisektas, qui pointe à la 2e place du championnat, à égalité de points avec le Galatasaray, leader, va défier le Beledyespor, 14e, qui se prépare à affronter l’ouragan Nina. "Le Beledyespor va pleurer comme mes ex après une nuit avec moi", a-t-elle déclaré, provocatrice, lors d’un live Instagram depuis sa villa sur les bords du Bosp*beep*. Une sortie qui a encore alimenté les rumeurs sur sa vie privée : entre soirées yacht avec la princesse Jasmine, rumeurs de ménage à trois avec une star hollywoodienne, et photos volées d’elle en tenue... très légère sur un réseau social privé, Nina Hoslanir fait autant parler d’elle hors des terrains que sur le banc. "Elle est en train de transformer le vestiaire en un mélange de caserne et de club VIP", confie un joueur sous anonymat. "On a jamais vu ça : un jour, elle nous engueule comme un sergent-instructeur, le lendemain, elle nous invite à des afters avec des bouteilles à 10 000 euros." La princesse Jasmine, héritière du trône turc et compagne officielle de Nina, était présente en tribune lors du match de Coupe. Vêtue d’une robe moulante et d’une écharpe aux couleurs du club, elle a été filmée embrassant fougueusement l’entraîneuse après le 3e but. "Nina va tout casser, comme elle casse... tout le reste", a-t-elle glissé à un journaliste de Sozcu, sous-entendu à peine voilé. Les tabloids turcs s’interrogent : le couple le plus puissant du pays est-il en train de réécrire les règles du football... et du sexe ? Les ultras du Bisektas restent partagés. Certains adorent cette nouvelle ère, où le club fait la une des médias sportifs et people. D’autres, plus traditionnels, craignent pour l’avenir. "On est 2e, on marque, on gagne... Mais est-ce que c’est durable ?", s’interroge un supporter historique. "Et si un jour, elle se lasse et part faire la fête à Mykonos ?" Nina Hoslanir, elle, balaye les critiques d’un revers de main : "Les gens parlent, mais on gagne. Le Beledyespor, c’est samedi. Préparez les mouchoirs." Nous vous proposons un serveur discord avec differents évenements autour du jeu . N oublier pas de vous authentifier lorsque vous arriverez dans le serveur sinon vous serez exclu. https://discord.gg/Zd6F6SxQ9C Nous vous proposons un serveur discord avec differents évenements autour du jeu . N oublier pas de vous authentifier lorsque vous arriverez dans le serveur sinon vous serez exclu. https://discord.gg/Zd6F6SxQ9C dans l’objectif d’animer le jeu, je propose un serveur discord qui permettra d’organiser différents événements autour du jeu, comme un ballon d’or, une coupe pour le Meilleur Manager de l’Année ou des tournois amicaux: https://discord.gg/Zd6F6SxQ9C |
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